sexta-feira, 26 de novembro de 2010

Relatório do Conselho internacional de Cereais (25/11/2010)

MAIZE: se prevé que la producción mundial de maíz
en 2010/11 disminuya a 810 m. de toneladas (811 m.).
La proyección se ha recortado en 4 m. para reflejar la
reducción de las estimaciones para Estados Unidos y
Brasil. El consumo mundial se sigue estimando en
una cifra récord de 840 m. de toneladas, un aumento
interanual de 27 m. La previsión para el consumo
mundial de maíz pienso se ha reducido en 3 m. de
toneladas a 487 m. (470 m.), reflejando recortes para
Estados Unidos y Corea del Sur. En cambio, se ha
incrementado la proyección para el consumo de maíz
para la producción de etanol combustible en Estados
Unidos; la cifra para la demanda industrial mundial se
ha aumentado en 3 m. de toneladas a 228 m. (218
m.). Se espera que las existencias al cierre
disminuyan en un 20%, alcanzando su nivel más bajo
en cuatro años, de 121 m. de toneladas (152 m.). Se
prevé que el comercio total aumente en un 9% en
2010/11 (julio/junio), con un incremento notable de las
importaciones por parte de la UE, China y Rusia.

quinta-feira, 18 de novembro de 2010

Subida de preços ameaça provocar nova crise alimentar (Público - 18/11/2010)

Subida de preços ameaça provocar nova crise alimentar
João Manuel Rocha
a As más notícias vêm agora de outro
lado. A subida de preço dos alimentos
nos últimos meses pode provocar
problemas de abastecimento em 2011
e, a menos que as colheitas aumentem
signifi cativamente no próximo
ano, o mundo deve preparar-se para
tempos difíceis.
O alerta é da FAO, a Organização
das Nações Unidas para a Agricultura
e Alimentação, que ontem divulgou o
seu relatório bianual sobre perspectivas
alimentares. O custo das importações
de comida pode ultrapassar este
ano o bilião (um milhão de milhões)
de dólares, devido ao brusco aumento
de preços face a 2009.
O índice FAO Food Price subiu 34
pontos entre Junho, data da divulgação
do anterior relatório, e Outubro,
quando registava uma média de 197
pontos, apenas 16 abaixo do pico de
2008. A factura alimentar dos países
mais pobres deve subir este ano 11 por
cento, valor estimado em 20 por cento
para países com baixo rendimento
e défi ce alimentar.
O aumento de preços deve-se a diferentes
factores, o mais importante
dos quais foram as más colheitas de
alguns produtores-chave, designadamente
Estados da antiga União Soviética,
o que vai implicar uma redução
de stocks e levar a difi culdades no
abastecimento.
A subida começou por se fazer
sentir no mercado de cereais, mais
acentuadamente no trigo e na cevada,
em Agosto, devido a condições climatéricas
desfavoráveis que levaram a
que as previsões de crescimento de
1,2 por cento na produção, adiantadas
em Junho, dessem lugar a um cenário
de queda de dois por cento.
As estimativas da FAO são de que os
stocks de cereais caiam sete por cento,
com baixa mais acentuada na cevada,
35 por cento, milho, 12 por cento, e
trigo, dez por cento. Só nas reservas
de arroz se espera uma subida, da
ordem dos seis por cento. O enfraquecimento
do dólar ajuda também
a explicar a subida de preços, uma vez
que a maior parte das transacções é
feita nessa moeda.
A FAO espera que as reservas, actualmente
maiores do que na crise de
2007/2008, designadamente de arroz
e farinha de milho, alimentos de primeira
necessidade em muitos países
vulneráveis, permitam enfrentar melhor
o problema, mas isso não a impede
de estar preocupada com o efeito
dos aumentos. A apreensão estende-se
aos próximos anos, devido à previsível
diminuição de reservas. “Tendo em
conta a expectativa de quebra geral de
stocks, a dimensão das colheitas dos
próximos anos será um dado crítico
para a estabilidade”, refere.
A expectativa é de que em resposta
à subida de preços os agricultores alarguem
as áreas de cultivo, o que pode
não apenas fazer face às necessidades
mais imediatas como permitir repor
stocks. Mas os cereais não são as únicas
culturas atraentes para os agricultores
– produtos como a soja, o açúcar e o
algodão registaram também aumentos
de preços –, o que “pode limitar as
plantações a níveis insufi cientes para
aliviar o aperto”, diz a FAO.
Neste quadro, assinala a organização,
os consumidores podem ter
que resignar-se a pagar “preços mais
elevados pelos alimentos

sexta-feira, 12 de novembro de 2010

Desequilíbrio entre as moedas e a agricultura

G20 de Séoul : Comment les déséquilibres monétaires et de change fragilisent-ils l’agriculture européenne?

Communiqué de presse

Paris, le 09 Novembre 2010

G20 de Séoul :
Comment les déséquilibres monétaires et de change fragilisent-ils l’agriculture européenne?

Une analyse comparée Etats-Unis/Union-Européenne montre un avantage économique équivalent à « 50 Airbus A380 » en faveur des farmers américains.

Selon momagri©, think-tank plaidant une nouvelle vision de l’agriculture mondiale, la communauté internationale ne prend pas assez en compte l’impact des déséquilibres monétaires et de change sur le secteur agricole.

Pourtant, les taux de change et les taux directeurs définis par les Banques centrales sont devenus, dans des proportions inconnues jusqu’alors et dans le contexte des crises alimentaires, financières et budgétaires, des variables essentielles de la compétitivité agricole. Une comparaison entre l’Europe et les Etats-Unis (1) l’illustre :
- La sous-évaluation du dollar par rapport à l’Euro a constitué ces deux dernières années un soutien, indirect mais effectif, pour l’agriculture américaine : ce soutien est évalué à 17,8 milliards de dollars en 2008 et à 14, 4 milliards de dollars en 2009 ;
- Les taux d’intérêt plus avantageux pratiqués par la Banque centrale américaine (la FED) par rapport à ceux de la BCE se sont traduits par un avantage de 2,9 milliards de dollars en 2008 et 106 millions de dollars en 2009 pour les farmers américains.
Cela représente au total 20,7 milliards de Dollars en 2008 et 14,5 milliards de Dollars en 2009, soit l’équivalent de 6,5% et de 5% de la valeur de la production agricole américaine.

Pour Christian Pèes, Vice-président de momagri©, « ceux qui subissent ces déséquilibres sont soumis à des pressions permanentes qui s’aggravent d’autant dans les périodes de forte volatilité des prix ».

Selon Pierre Pagesse, Président de momagri©, « il est essentiel de prendre en compte ces variables de change et monétaires dès le prochain G20 car les marchés agricoles, devenus plus instables avec la spéculation, sont porteurs d’une nouvelle crise financière et alimentaire. Sans compter que la menace d’une libéralisation sans régulation du commerce agricole international est toujours présente à l’OMC».

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(1)– Cette analyse, qui porte sur la réalité des soutiens accordés par les Etats à leur agriculture, a été conduite par momagri© dans le cadre de son projet de développement d’une Agence de notation sur l’agriculture et ses enjeux.

Un premier rapport sur les comparaisons Etats-Unis / Union-Européenne sera publié mi-janvier 2011.

Il permettra de mesurer les soutiens directs (budgets des politiques agricoles) et indirects (politiques financières et monétaires, aides alimentaires …) à l’agriculture pratiqués dans les deux principales régions productrices de la planète.

Une nouvelle nomenclature budgétaire internationale facilitant les comparaisons entre les budgets des Etats a été définie à cette occasion.

Les travaux comparatifs de momagri© se poursuivront en 2011 et traiteront ensuite du Brésil, du Canada, de la Chine et de l’Inde et à terme de tous les grands Etats producteurs. Il sera ainsi possible de tirer des enseignements utiles pour les débats économiques et commerciaux, car fondés sur la réalité des politiques publiques.

L’approche de momagri© participe de la nécessité de disposer de normes communes adaptées à la nouvelle réalité économique, qui est précisément le thème du prochain Forum de Davos (26-30 janvier 2011).

(Fonte: MOMAGRI)

Tensão nos preços

Vives tensions sur les stocks mondiaux de maïs (FranceAgriMer)
Publié le mercredi 10 novembre 2010 - 18h38

Les stocks de maïs sont au plus bas, et le manque de visibilité sur la récolte chinoise masque peut-être une situation encore plus tendue que celle annoncée officiellement, a expliqué FranceAgriMer, mercredi, à l'issue du conseil spécialisé des grandes cultures.

Les stocks de fin de campagne de maïs aux Etats-Unis seraient au plus bas depuis quinze ans, a annoncé le département américain à l'Agriculture, dans son dernier rapport du 9 novembre sur l'offre et la demande mondiale.

Le ratio des stocks par rapport aux utilisations annuelles du pays seraient de 6 % dans ce pays qui assure 38 % de la production mondiale et plus de la moitié des exportations.

« Au plan mondial, les stocks de report seraient également très faibles pour atteindre seulement 15 % des besoins annuels, en dessous du seuil d'alerte de 18 % fixé par la FAO, indique Michel Ferret, chef du service des marchés de FranceAgriMer. L'équilibre reste extrêmement fragile en maïs, d'autant plus que les statistiques officielles américaines misent sur une excellente récolte chinoise de 168 Mt, tandis que certains analystes l'estiment plus volontiers à 155 Mt. »

(Fonte: La France Agricole)